À la suite d’un rapport publié par le Financial Times qui a révélé que la Commission européenne n’ouvrira pas de procédure d’infraction à l’encontre de l’Italie pour discrimination contre les Roms dans le domaine du logement, Amnesty a souligné le cas des expulsions forcées de 300 Roms du camp de Giugliano l’année passée, ainsi que l’expulsion du camp de Gianturco à Naples ce mois-ci, comme raisons pour lesquelles la Commission devrait prendre des mesures plus strictes contre la discrimination à l’encontre des Roms en Italie. En savoir plus sur la position d’Amnesty ici.